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de hochana raba à sim'ha torah

hochana

rabba


Dans le temple, pendant toute la fête on tournaient (haka fat) autour de l’autel avec de grandes branches de saules. Le septième jour on tournait sept fois puis on frappait le sol avec les saules pour conclure toutes les prières soukot.
Cette mitsva fut instituée par les prophètes. Elle démontre la conscience profonde qu’ à le peuple d’Israèl que les bénédictions même matérielles et terrestres (pluies et récoltes ) sont
fonctions de nos actions et de notre conduite morale.

La fin du jugement
D’après les maîtres de la Kabalah, c’est au lever du septième jour de soukat, àhochaana rab/ut
-> que les décrets de Roch Hachanah, scellés à Yom Kipour sont mis en application.
C’est pour cela qu’on a pris l’habitude d’organiser une veillée d’étude et de prières jusqu’au
matin, pour éveiller encore une fois la miséricorde Divine.

Les hakafot
A l’office du matin après le ha//el on sort un séfer Tara/i que l’on pose sur la Téba (table centrale). Une personne reste en permanence près du séfer pendant que le reste de l’assemblée tourne autour de
Dans le temple, pendant toute la fête on tournaient (haka fat) autour de l’autel avec de grandes branches de saules. Le septième jour on tournait sept fois puis on frappait le sol avec les saules pour conclure toutes les prières soukot.
Cette mitsva fut instituée par les prophètes. Elle démontre la conscience profonde qu’ à le peuple d’Israèl que les bénédictions même matérielles et terrestres (pluies et récoltes ) sont
fonctions de nos actions et de notre conduite morale.

La fin du jugement
D’après les maîtres de la Kabalah, c’est au lever du septième jour de soukat, àhochaana rab/ut
-> que les décrets de Roch Hachanah, scellés à Yom Kipour sont mis en application.
C’est pour cela qu’on a pris l’habitude d’organiser une veillée d’étude et de prières jusqu’au
matin, pour éveiller encore une fois la miséricorde Divine.

Les hakafot
A l’office du matin après le ha//el on sort un séfer Tara/i que l’on pose sur la Téba (table centrale). Une personne reste en permanence près du séfer pendant que le reste de l’assemblée tourne autour de

 

chemini

asseret

Chemini atsérète

Le troisième jour s’appelle Chemini atserete, c’est à dire le 8~ “~ arret ou manifestation. Cela signifie qu’après
avoir rencontré la miséricorde Divine pendant les sept jours de Soukot grâce aux quatre espèces, à la Souka et aux sacrifices de la fête (70 pour les soixante-dix nations) l’Eternel nous “arrête”, nous retient pour une dernière manifestation, comme un hôte qui après un banquet retient son invité préféré pour un dernier moment en tête à tête.
Il n’y a plus de mitsva “matérielle” comme la souha ou le lau/av mais uniquement la joie de la
Torah.

 

Simha Torah

En dehors d’Israél nous séparons sur deux jours chemin i atserete et Simha Torah. On continu à manger dans la Souka sans la bénédiction de “Lichev hassouha” pendant chemini atserete mais plus àSimha Torah.

Les deux jours on dit au Kidouch du soir et dans la amida “Yom chemini (Liag) ha atserete haze

A Simha Torah on sort 3 séfarim dans le l~” on termine la lecture de la dernière